Morus nigra Wellington forme un petit arbre d’abord érigé puis étalé en vieillissant. Il atteint 10 m de haut et entre 6 et 7 m de large. En avril, sa floraison blanche est assez discrète. Cette variété est surtout appréciée pour sa fructification abondante, des fruits noirs longs de 2 à 3 cm ressemblant à des mûres. Comestibles, ils mûrissent dès juillet et se consomment frais, en confiture ou encore en tarte. Facile de culture, cet arbre de développement moyen peut être planté en isolé ou encore dans une haie libre. Avec l’âge, il devient assez pittoresque grâce à son écorce qui devient particulièrement décorative.
- Utilisation au jardin
- isolé
- Exposition
- soleil
- Rusticité
- rustique
- Zone de rusticité
- 7 (-16 à -12°C)
- Conseils de plantation
- Choisissez-lui un emplacement ensoleillé, chaud et abrité. Cet arbre facile à vivre croit même en sol pauvre. Calcicole, il apprécie les sols calcaires.
- Conseils de taille
- Taille de formation en fin d'hiver.
- Conseils de culture
- Evitez de planter votre mûrier noir à proximité d'une terrasse car ses fruits noirs tachent. Paillez le pied.
- Type de sol
- Sol léger, bien drainé. Tolère bien le calcaire.
- Synonymes
- Mûrier noir Wellington
- Croissance
- rapide
- Port
- étalé
- Mois de floraison
- avril
- Couleur dominante des fleurs
- blanc
- Type de feuillage
- caduc
- Couleur du feuillage
- vert
- Hauteur à maturité
- 8 à 12 m
- Etalement à maturité
- 4 à 8 m
- Couleur des fruits
- noir
- Type de fruits
- mûre
- Mois de récolte
- juillet
- Autofertile
- oui
- Utilisation en cuisine
- confiture / gelée
frais
jus
pâtisserie
sirop
- Particularités
- facile à cultiver
fruit décoratif
- Saisons d'intérêt
- automne
printemps
été
- Famille botanique
- Moraceae
- Un peu de botanique
- De la famille des moracées, le genre Morus compte une dizaine d'espèces d'arbustes et d'arbres à feuillage caduc originaires d'Afrique, d'Asie et d'Amérique.
- Le saviez-vous ?
- Certaines espèces de Morus sont cultivées depuis des siècles pour leurs fruits comestibles et surtout pour la sériciculture car les vers à soie se nourrissent de leurs feuilles.